Nos points de vue

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 Les deux groupes d’opposition de Savenay s’unissent à nouveau afin d’exprimer une voix différente vers la population sur les méthodes, mais aussi les gros dossiers en cours avec la distribution d’un tract prochainement dans les boites aux lettres.
Vous pouvez le consulter en cliquant sur le lien juste ici !
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Les 6 élus partagent le même constat, des faits réels démontrent un exercice du pouvoir centralisé qui différencie les élus, certains faits démontrent l’exclusion des minorités, les décisions sont prises par une poignée d’élus, nous persistons à dire que la démocratie est malade à Savenay, c’est une contradiction avec les déclarations du maire.
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Un dossier confirme tous les griefs énoncés, la future médiathèque, d’où vient la légitimité de la majorité à conduire seul ce dossier sans la population ?
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Face aux discours soi-disant visionnaires et « ambitieux » nous vous donnerons un autre récit du projet coeur de ville. Projet qui inquiète et interroge sur ces choix envers les commerçants et les habitants du cœur de ville et sur la circulation/stationnement. Autant de travaux pour quelle finalité, une halle marchande ?
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Le maire n’a de cesse de répéter qu’il prend ses responsabilités et assume ses choix de dépenses onéreuses mais jamais il n’annonce le montant global des travaux. Force est de constater que c’est très facile avec l’argent des autres et de la collectivité, mais la facture sera pour tous. Cela commence dès 2024 avec l’augmentation d’impôts de 15%. En 2025 on continue à faire les poches des savenaisien-ne-s?
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Depuis le début du mandat, la majorité nous vend du rêve, mais 2024 sera le début de la descente sur la terre ferme avec des travaux partout et des arbitrages qui rendent ceux de la transition écologique incomplets.
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Enfin, sur l’accueil de population et l’urbanisme de notre commune, nous ne partageons pas les décisions prises. Encore une fois, le maire assume tout, mais sans jamais clairement expliquer sa vision sauf à « Prendre sa part » N’est pas un peu léger pour un maire d’une ville de 9500 habitants ?  A-t-il bien mesuré les conséquences ? Nous en doutons
👉 À vos boîtes aux lettres ❗

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Les groupes minoritaires NEPS et SA se sont réunis pour rédiger un document à destination des savenaisien.nes.
Vous pouvez le consulter en cliquant sur le lien juste ici !
✅  Il nous semble important de partager avec les savenaisien.nes ce que nous vivons au sein de l’assemblée communale.
👉  Pour celles et ceux, qui auraient loupé un épisode : Nous avons adressé au maire une lettre pour expliquer les raisons de notre absence au dernier conseil municipal. Nous nous attendions à ce qu’il nous réponde, nous propose une rencontre… et bien, non🤔 Rien❗ à part un commentaire sur la forme de notre action dans la presse.
✅  Nous avons donc pris l’initiative de demander un rdv pour échanger sur le fond ! C’est ce qui est important !
📌  Dans ce document, certes, un peu fourni en mots, nous soulevons un certain nombre de questions en lien avec les projets que la majorité porte seule : rénovation centre-ville, nouvel équipement sportif, vente de la trésorerie…
👉 À vos boîtes aux lettres ❗

Faut-il parler de l’Ukraine aux enfants et ados ?

Parents, grands-parents, enseignants, animateurs, éducateurs, … tout adulte a pu s’interroger sur la pertinence d’aborder (ou non) la guerre en Ukraine avec les enfants et ados de son entourage. Entre sentiment d’impuissance et gestion de ses propres émotions, il n’est pas si simple de trouver les mots et les outils adaptés. Ne rien dire ? Tout dire ?  Comment trouver le juste équilibre ?

Pour parer à cela, nous avons tenté de recueillir et identifier les conseils clés et des ressources :

Pour les enfants :

👉 Ne pas laisser la télé/radio allumée en boucle, car écouter sans comprendre rend le discernement difficile,

👉 S’autoréguler en tant qu’adulte et préserver les enfants de ces discussions,

👉 Si un enfant aborde de lui-même la situation, lui demander ce qu’il en sait afin de pouvoir rectifier si nécessaire,

👉 Être à l’écoute des questions et y répondre avec des mots simples « Un pays a attaqué un autre pays et ceux qui y habitent se défendent avec courage »,

👉 Donner de l’espace à l’espoir, aux élans de solidarité, aux soutiens entre pays et citoyens,

👉 Ouvrir le dialogue : cela permettra de l’impliquer à hauteur d’enfant : Comment fait-on quand on a un conflit avec un copain ?

Pour les ados :

👉 Se positionner à côté de l’ado et écouter ses sources d’informations (tiktok, Instagram, YouTube…),

👉 Encourager le dialogue entre ados,

👉 Écouter les émotions et identifier les éventuels besoins sous-jacents,

👉 Ouvrir le dialogue et partager sur la situation pour éviter l’isolement.

Et pour les adultes ? Vous vous sentez impuissant et/ou dépassé à accompagner votre enfant/ado ? Des réseaux de parentalité existent en Loire-Atlantique, des professionnels peuvent vous accompagner, voire accompagner votre enfant sur Savenay, des adultes tiers autour de vous peuvent peut-être être soutien (amis, parrain-marraine, …)

Pourquoi un article sur ce sujet ?

Parce qu’accompagner les enfants et ados, c’est agir pour la citoyenneté d’aujourd’hui et de Demain, c’est prendre soin de l’Humain, c’est incarner la bienveillance et la solidarité que nous prônons pour soutenir un monde de Paix. 

Ressources :

👉 1 jour 1 question

👉 Le Petit Quotidien

👉 Chaine Youtube Info ou Mytho : C’est qui Poutine ?

 

Alors, si vous aussi, vous avez repéré des ressources, n’hésitez pas à nous les partager.

Nous espérons que cela puisse être utile.

 


 

Pour ce 8 mars 2022, journée internationale du droit des femmes, nous formulons un vœu : 

« Favoriser la visibilité des femmes de notre territoire ».

Des femmes ont participé à l’histoire de notre commune mais elles ne sont pas visibles dans l’espace public. Notre commune ne se distingue pas des autres communes de France avec seulement 7 rues portant des noms de femmes sur les 43 rues savenaisiennes !  Il est plus que temps d’aller vers une mixité plus affirmée.

Pour ce faire, nous souhaitons mener un travail de recherche pour identifier les femmes qui ont contribué à l’histoire de notre commune et ce peu importe la période. Les vivantes sont tout autant honorables que les disparues !  

  • Il y a celles qui sont nées à Savenay et qui ont mené un parcours remarquable ailleurs,
  • il y a celles qui sont passées et ont laissé un souvenir, une trace 
  • il y a celles qui ont vécues toute leur vie à Savenay 
  • et enfin, il y a celles qui œuvrent encore pour notre ville…. 

Nous lançons donc un appel aux savenaisien.nes afin d’identifier toutes celles qui permettraient d’écrire l’histoire avec les femmes de notre territoire.

Vos propositions ici naturellementensemblesavenay@gmail.com 

 


Nous soutenons le peuple ukrainien face à l’invasion russe

La guerre déclarée à l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022, a d’ores et déjà poussé sur les routes de l’exil plusieurs centaines de milliers de personnes, dont de nombreuses familles, majoritairement des femmes et des enfants (…). Le préfet de la Loire Atlantique a pris l’attache des élus du département, mardi 1er mars, afin de répertorier dans les prochains jours les propositions et initiatives possibles, en lien avec le secteur associatif, et construire ainsi un dispositif d’accueil, qui réponde aux engagements de la France et à l’élan de solidarité qui se manifeste dans la société française (source : préfecture de Loire-Atlantique)

Plus d’infos 

Nous sommes, comme beaucoup d’entre vous, sidérés par l’invasion décidée par Poutine et nous voulons dire notre soutien au peuple ukrainien. 

 

Chacun.e peut apporter une aide matérielle aux ukrainien.nes en donnant du matériel médical, des médicaments, de la nourriture. Des associations sont mobilisées pour recueillir et acheminer les dons. A titre d’exemple, vous pouvez déposer vos dons à la maison de l’Europe, 90 bd de la prairie au duc à Nantes.

Nos pensées vont également à nos ami.es moldaves si proches du conflit et très inquiet.es sur sa suite. Ils s’organisent également pour accueillir de nombreux.ses réfugié.es et soutenir les ukrainiens qui laissent derrière eux leur maison, leur travail parfois des proches.

Savenay entretient une amitié informelle avec la ville de Crihana Veche en Moldavie depuis 2013. Des élu.e Moldaves ont été accueilli.es à Savenay en 2015 et une délégation savenaisienne composée d’élues et de bénévoles de l’ALJ s’est rendue en Moldavie en 2017. Les échanges avec ce petit pays, en dehors de l’UE, nous ont permis de mieux appréhender son organisation et son souhait d’intégrer l’UE. 

Aujourd’hui, évidemment nous partageons leurs inquiétudes car même si depuis son indépendante en 1991, la Moldavie a évité la guerre avec la Russie, elle devient aujourd’hui un région clé qui pourrait faire l’objet de l’attention russe. 

Pour situer la Moldavie par rapport à l’Ukraine 

Comprendre les craintes de nos ami.es Moldaves 

https://legrandcontinent.eu/fr/2022/03/01/le-futur-de-la-guerre-en-ukraine-est-il-en-moldavie/


crédit photo : Yannick Boucaud

En décembre dernier, nous avons informé la population via la presse locale d’un recours déposé au Tribunal Administratif contre la modification du PLU facilitant l’implantation d’un projet immobilier sur l’ancien site de l’hôpital local.

Sans surprise, la réaction du maire s’est faite sans attendre. Après échanges entre nos 2 groupes, nous avons décidé de saisir cette occasion pour nous exprimer plus longuement sur son propos.

 

Partie 1. Les minorités réagissent aux propos du Maire

D’abord, nous sommes dubitatifs de la réactivité, dans un journal local, du maire à la parution de notre article. De notre côté, nous avons pris le temps de réfléchir à la réponse à apporter !

On a imposé la patience aux minorités pour la parution de son article mais le maire est publié dès le lendemain en répondant avec concordance, point par point à nos propos ! 

Une grande partie des propos tenus relèvent du règlement de compte avec les 2 têtes de liste des groupes minoritaires ! De notre côté, nous resterons sur les faits réels, vérifiables et opposables

Ce sont deux modifications du PLU qui permettent ce projet immobilier sur l’ancien site de l’hôpital et pas la façon dont les uns et les autres se comportent ou s’expriment! Bref, cela ne nous impressionne nullement, nous savons qu’être élu.es expose aux critiques et nous l’assumons !

Cependant, grâce à la réaction du Maire, nous avons la possibilité d’exposer de manière plus détaillée les faits et commenter certains propos !

Dire que la discussion politique a eu lieu, c’est mensonger et gonflé ! Oui nos 2 groupes ont porté à 5 reprises des questions en fin de conseil sans jamais que cela n’engage un débat mais des réponses comme « tout était engagé avant notre arrivée, c’est trop tard, c’est une affaire de privé à privé, c’est trop cher, etc…. ». En juin dernier, à notre demande, un point sur les différentes étapes du dossier a été présenté en commission. Une autre fois, à l’initiative de la majorité, pour engager la rétrocession à la mairie d’une placette et de la future rue intégrée dans le projet. 

Nous lançons un défi à notre maire : qu’il diffuse un compte rendu d’une réunion qui retrace un débat sur ce sujet.

Concernant la modification de janvier 2020, il faut relire le débat public du conseil communautaire pour constater que la délibération comportait 3 points, dont celui de l’hôpital afin de rendre la construction de logements possible, ce qui était impossible dans l’ancien règlement du PLU. Jamais il n’a été évoqué un lien avec un projet immobilier, ni une résidence senior. 

Concernant la mise en cause de Stéphanie Hallien et de son vote, une clarification est nécessaire : Nous étions en pleine campagne municipale et ne pouvant siéger au conseil communautaire, elle avait donné son pouvoir à un autre élu de la majorité. Personne ne pouvait imaginer qu’un allègement des règles du PLU permettrait un projet aussi dense sans les stationnements suffisants.

« A aucun moment, nous n’avons eu de débat sur le devenir de ce site au motif que c’était un site privé. En janvier 2020, je n’avais pas connaissance d’un tel projet. Il s’agissait alors de modifier le zonage pour effectivement favoriser l’implantation de logements. Je n’y suis pas opposée ! Je n’ai pas changé d’avis parce que je suis maintenant dans l’opposition ! Ce que je sais en revanche, c’est que je n’aurai pas donné un avis favorable à un projet de 156 logements avec aussi peu de stationnements. Et je n’aurai sans doute pas été la seule. »

Partie 2. Les minorités défendent la transparence et pas la confusion !

Nous soutenons la production de logements en cœur de ville si elle s’accompagne de moins de consommation foncière et agricole. Ce n’est pas le cas à Savenay, qui s’urbanise partout. Pour les nouvelles zones d’urbanisation, un promoteur doit produire 25 logements à l’hectare alors que sur le site de l’hôpital ce sera 156 ! Alors, bien sûr que cette modification impacte la densité de l’opération ! Jamais dans notre ville semi- rurale, nous n’avons vu 156 logements sur 1 ha. Savenay n’est pas St Herblain ni Nantes. Savenay ne peut pas répondre à tous les besoins en logements de la métropole.

Sur le stationnement, soyons clair ! Qui entretient la confusion ?

Ce projet immobilier compte 3 bâtiments avec 156 logements et 99 places de stationnement, au lieu de plus de 200 nécessaires, réparties comme suit :

    • un bâtiment de 87 logements en résidence senior avec 14 places de stationnement ; 
    • un bâtiment de 35 logements en accession libre dont 5 logements sociaux avec 38 places de stationnement ;
    • un dernier bâtiment exclusivement à vocation sociale avec 34 logements sociaux et 34 places de stationnement. 

Quant aux places visiteurs, elles sont en nombre de 13 mais elles sont mutualisées entre la résidence sénior et la résidence en accession libre. Les places pour le personnel de la résidence senior ne sont pas quantifiées

Alors dire qu’il n’y aura pas d’impact sur le stationnement et qu’« adapter le stationnement aux besoins réels relève du bon sens », c’est surprenant et une bien mauvaise appréciation des besoins d’une ville comme la nôtre ! Que penser du « bon sens » des promoteurs? 

En effet, plusieurs études démontrent que les personnes (à partir de 65 ans) vivant dans une ville ou en résidence sénior sont motorisées. Il va donc falloir justifier, plus sérieusement, le choix de la jauge fixée à 14 places de stationnements pour 85 logements. La justification présentée dans le permis de construire est plutôt légère et inappropriée !

D’ailleurs, d’après la sécurité routière qui a porté une étude sur la mobilité des ainés « Les seniors de plus de 75 ans se tournent en 1er lieu vers la voiture pour leurs déplacements. En 2019, 56 % de leurs déplacements sont en voiture. Les taux d’équipements des séniors progressent en conséquence. Les 65/75 ans sont 85% à disposer d’au moins une voiture en 2018. Pour les 85 ans et plus, 63% en 2018. » A l’évidence, le nombre de places est sous-estimé ! 

Et pour l’extension du cabinet de santé, la bonne nouvelle c’est qu’elle est possible et que tous les acteurs travaillent de concert ! Nous serons vigilant.es car une extension de la maison santé implique également une extension du stationnement pour la patientèle. Ironiquement, il est surprenant de découvrir cela dans la presse. Mais n’en doutons pas, la majorité va s’empresser de nous informer !


Les deux minorités savenaisiennes unies pour contrer la dernière modification du PLU en relation avec le projet immobilier sur le site de l’ancien hôpital.

Les deux groupes représentés par Janick Tatard et Stéphanie Hallien, conseillers communautaires avaient déposé un recours gracieux pour favoriser une négociation amiable entre tous les acteurs et élus. Malheureusement, sans discussion, celui-ci a été rejeté.

 Nous avons donc décidé de saisir le juge du tribunal administratif afin de connaître la légalité d’une délibération du conseil communautaire du 24 juin dernier qui, pour la seconde fois, apporte une modification du PLU et favorise, en allégeant les règles, le projet immobilier d’un promoteur avec 155 logements et 99 stationnements au lieu de 200.

Après le retrait par le promoteur d’un premier permis de construire (PC), non conforme aux règles en vigueur, et ce malgré un premier assouplissement des règles en 2020, en juin 2021, pendant l’instruction du 2nd PC, les élus communautaires ont validé une nouvelle modification pour permettre la délivrance du permis de construire au promoteur, le mois suivant.

Une vente de privé à privé d’un site particulier, d’un hectare en cœur de ville implique-t-elle une collectivité? OUI car une municipalité a des responsabilités et doit s’interroger sur la préservation de son patrimoine local tout autant que sur l’avenir de la maison de santé existante dans le site.

Pourquoi imposer la création d’une rue dans le futur projet et demander une modification du PLU pour signer le PC, si on n’est pas acteur?

Cette dérogation qui allège les règles permet au promoteur de vendre 155 logements sans les 200 places de stationnement réglementaire. La résidence séniors de 85 logements dans le projet comporte 14 places de stationnement. Rien pour le personnel. Une densité de 155 logements sur cette surface (1ha), c’est du jamais vu à SAVENAY

L’avenir du pôle intercommunal de santé, enclavé dans le périmètre du projet nous inquiète. L’augmentation de la population et donc des patients l’oblige à augmenter sa capacité d’accueil. C’est un enjeu fort du territoire qui doit avoir des services publics performants surtout celui de la santé avec un stationnement suffisant.

Nous regrettons que sur ce projet, aucun débat entre élus, entre élus et citoyens y compris le propriétaire n’ait été engagé. L’arrivée de nouveaux élus aurait pu rebattre les cartes, rien ne s’y opposait ! L’opportunité d’un hectare disponible en cœur de ville aurait dû susciter un débat favorisant un projet allant dans le sens de l’intérêt général. Il est encore temps ! 

 Un collectif citoyen composé de soutien de la majorité et des minorités s’est constitué et a engagé une démarche de sensibilisation et d’actions sans connotation politique. Il a recueilli plus de 750 signatures à la pétition proposée, ne pas la reconnaître est un déni de démocratie

Notre action nous engage et nous soutenons celles du collectif. Cela n’en fait pas un sujet de politique politicienne. 

Nous sommes des citoyens savenaisiens soucieux de la préservation du patrimoine local et cohérents dans l’aménagement de notre ville !

 

 


Toutes et tous, engageons-nous contre les violences sexistes et sexuelles

Dans le prolongement de notre action du printemps dernier, et de notre engagement à soutenir les actions de lutte contre les violences faites aux femmes, notre équipe soutient l’organisation de la marche du 25 novembre.  

Rendez-vous le 25 novembre, place Bretagne à Nantes, à 18 h 30.

 


Pour un #MeToopolitique : les agresseurs sexuels n’ont pas leur place aux élections de 2022.

 

 Patricia Baholet et Stéphanie Hallien font partie des 285 femmes signataires de la tribune publiée dans le journal le Monde, le 15 novembre pour « que le monde politique prenne enfin en compte le mouvement #metoo »

> Lien vers l’article du Monde

 

 

 

 

 

 

Nous, femmes travaillant dans le milieu politique, élues, collaboratrices, fonctionnaires, responsables associatives, militantes qui côtoyons régulièrement les hommes politiques, mais avant tout citoyennes, appelons le monde politique à une réponse d’ampleur aux violences sexuelles et sexistes commises par nos représentants.

Au sein du Parlement, des mairies, des conseils départementaux et régionaux, des hommes mis en cause, parfois condamnés pour viol, pour agression sexuelle, pour atteinte sexuelle sur mineur, pour violences conjugales, sont élus, malgré les discours affichés sur la lutte contre les violences faites aux femmes, malgré nos alertes répétées. Qu’est devenue la grande cause du quinquennat ?

En avril 2022, nous choisirons le ou la présidente de la République. Trois candidats ou potentiellement candidats à l’Elysée sont déjà cités dans de nombreux témoignages d’agressions sexuelles. Cela ne les empêche pas, loin de là, de considérer qu’ils sont dignes d’occuper la magistrature suprême. C’est dire à quel point la condition des femmes et des victimes leur est indifférente. En juin 2022, nous élirons les membres de l’Assemblée nationale. Aujourd’hui, parmi les 577 députés, certains sont des auteurs de violences sexistes et sexuelles.

Garantir une ambiance de travail sereine

Une fois de plus et à la veille d’élections cruciales pour notre pays, nous exhortons les appareils politiques à écouter les victimes et à faire œuvre de prévention. Combien d’élections faudra-t-il avant que les formations politiques prennent leurs responsabilités pour garantir une ambiance de travail sereine au sein du gouvernement et du Parlement, un fonctionnement apaisé de la démocratie et la protection des personnes victimes de violences ?

Le monde politique doit assumer ses responsabilités, écarter les auteurs de violences sexuelles et sexistes de ses rangs et faire preuve d’exemplarité dans les désignations. C’est aussi une double peine pour les victimes. Ces auteurs sont responsables de voter les lois, les politiques publiques, qui nous concernent toutes et tous. Comment tolérer que les droits des femmes soient encore rognés, bloqués par eux ?

« Il faut du temps pour admettre être victime de ce que l’on appelle le sexisme ordinaire ! Au début de mon mandat, comme de mes engagements en politique ou même associatifs, je n’y prêtais pas attention. J’avais même l’impression que cela ne me touchait pas ! Aujourd’hui, j’ai un autre regard sur certaines attitudes, sur des propos qui me concernent ou bien touchent d’autres femmes élues. Je suis engagée depuis plusieurs années dans des collectifs féminins et féministes et je sais combien cela a pu être déprécier par des collègues…mais je suis fière de défendre les droits des femmes en politique comme dans la société. Alors oui, j’ai signé cette tribune car ce #MeTooPolitique est nécessaire pour dénoncer les agissements de certains hommes politiques. Encore trop de femmes renoncent à s’engager à cause de ce sexisme. » Stéphanie HALLIEN

« Le sexisme ordinaire, c’est aussi et « tout simplement » être nommée dans des commissions qui sont le plus souvent « données » aux femmes : CCAS, Culture, Education… C’est une double peine qui exprime à mots couverts, qu’une femme est sans doute « plus à l’aise » dans ce type de commissions qui sont « moins technique ! » que… la voirie ? l’urbanisme ?  et dans la sphère municipale, ce qui revient à minimiser le rôle indispensable de ces mêmes commissions sur les services rendus à la population et le juste essentiel du faire société au sens le plus large. L’égalité politique c’’est participer indifféremment aux commissions qui n’ont pas vocation à être « genrées » puisqu’elles concernent toutes les catégories de public ! » Patricia BAHOLET

 

Quelques propos sexistes rapportés par des élues locales :

« Le maire m’a retiré ma délégation quand je me suis engagée dans un scrutin sans lui demander son autorisation ! »

« Il m’a ignoré quand je lui ai fait part de mon souhait de m’engager dans la course à sa succession, comme si je n’existais pas ! »

 « Lors d’une prise de parole, j’ai été humiliée par le Président et un Vice-président… personne n’a réagi dans l’assemblée ! »

« En petit cercle, les moqueries sur le physique ou la tenue vestimentaire des femmes sont fréquentes. »

« Régulièrement, nous sommes dévisagées de bas en haut. »

« Et comme vous êtes une femme, quand vous arrivez en réunion, ils vous claquent la bise sans vous demander votre avis. »

« Pour éviter la bise, vous arrivez main tendue, et bien on vous l’attrape et hop, on vous claque la bise ! »

« Se faire couper la parole en réunion, ne pas pouvoir dérouler son propos, ne pas avoir de réponse à sa question, sont monnaie courante »

« Je partage une idée au Maire ; il la balaye d’un revers de main. Décidée à la défendre, je la partage, légèrement toilettée, à un collègue élu qui la partage, elle est digne d’intérêt ! »

« Je suis une femme affirmée, je sais ce que je veux, je suis donc autoritaire. Si pour faire entendre mon point de vue, je cale ma voix sur celle de ces messieurs, je suis qualifiée d’hystérique ! »

« Tu parles fort parce qu’il faut que tu trouves ta place »

« Vous vous rendez compte, c’est une féministe, elle signe cette tribune (une autre !) sans mesurer les conséquences pour l’équipe, des conneries tout ça! »

« À des conseillères municipales : elle se sert de son réseau d’élues pour constituer une équipe pour les municipales. Si vous répondez à son invitation, ne vous montrez pas sur les photos ! »

« J’ai modifié mon code vestimentaire, ma couleur de cheveux, parce que trop blonde pour me fondre dans cette arène masculine. »

Cette liste de pépites sexistes n’est évidemment pas exhaustive car elle est infinie !


La majorité défend une démarche de démocratie participative

Démonstration avec l’élaboration du pacte de gouvernance communautaire 

Sur proposition du bureau communautaire, les 11 communes de la communauté de communes devaient formuler des propositions pour élaborer ce pacte.  

Ce projet était donc l’occasion d’une coopération entre les 3 groupes puisqu’il s’agissait de faire remonter à la CCES des propositions pour ce pacte de gouvernance. 

La coopération a tourné court ! En effet, la majorité a choisi de travailler d’abord un pré projet qu’elle a soumis aux minorités pour avis et discussion ! Alors, oui, nous avons partagé des réflexions et formulé des propositions pour nourrir ce projet. Cependant, nous avons confirmé très vite que nos visions sur la définition de la co-construction et de la participation citoyenne étaient très différentes ! Néanmoins, nous nous sommes inscris dans la dynamique d’un document qui comprendrait un tronc commun aux 3 groupes avec les propositions du groupe majoritaire ainsi que celles des minorités.

La suite ne s’est pas déroulée comme nous l’avions imaginé car la majorité a fait son marché dans nos propositions en retenant certaines et en rejetant d’autres. Puis elle nous a invités à faire notre proposition car les divergences entre majorité et minorités ne permettaient pas de s’entendre sur une proposition commune. Enfin, c’est le ressenti de la majorité !

Les 2 groupes minoritaires se sont donc réunis pour formuler une proposition commune qui a été remise à la CCES. Nous n’avons pas perdu notre temps car nous avons constaté que certaines de nos propositions ont été reprise dans le pacte de gouvernance. Comme quoi, il ne faut jamais rien lâcher.

Nous le redisons, ce sujet était pourtant une occasion de « travail ensemble, d’engager un travail de coopération et de collaboration avec les groupes minoritaires. Mais bon, nous avons pris acte car cela se démontre sur d’autres projets municipaux : cœur de ville, équipements sportifs, boite à musique et Ludothèque. Nous ne sommes pas associé.es mais informé.es !

Quand on regarde l’échelle de la participation de Sherry Arnstein, celle engagée par la majorité relève de la participation à titre décoratif c’est-à-dire que nous élu.es de la minorité sommes des sortes d’objets décoratifs auxquels elle donne une place bien visible dans les projets pour que les acteurs et actrices du territoire, les habitant.es, ne manquent pas de le remarquer. Elle pourrait être décrite également comme symbolique car nous remplissons alors notre fonction d’élu.es minoritaires sans aucune influence sur les décisions, ce qui donne ainsi l’impression de participation de tout.es les élu.es, alors qu’en fait nous ne sommes pas entendu.es, ni ecouté.es. Et que dire de la place des habitant.es !?

 


NEpS s’engage dans l’action « luttons contre la précarité menstruelle »

Portée par Patricia Baholet et Stéphanie Hallien-Lanio, notre groupe a décidé de participer à l’action menée par le département de Loire-Atlantique « luttons contre la précarité menstruelle ».

Ainsi, avec les colistiers de la liste NEpS, nous avons mobilisé autour de nous ; ami.es, soutiens, famille… et proposé un point de collecte sans limite d’heure.

Mission accomplie, notre collecte de protections hygiéniques a été fructueuse avec plus d’une soixantaine de paquets déposée à l’Espace départemental des Solidarités de Savenay.

Merci à celles et ceux qui nous ont rejoints pour cette action solidaire.

 

Pourquoi NEpS a soutenu cette initiative ?

Tout d’abord, ce phénomène naturel est encore tabou. Les élu.es, les collectivités et l’Etat doivent s’en emparer afin de faciliter l’accès à des produits de première nécessité à des milliers de filles et de femmes et sensibiliser les habitant.es à cet enjeu d’égalité.

Ensuite, il s’agit là d’un enjeu majeur de santé publique. La précarité menstruelle concerne environ 1,7 million de femmes en France, qui pour des raisons économiques, ne peuvent se procurer des produits d’hygiène féminine. Cette dépense moyenne est estimée entre 4 500 € et 23 000 € pour la durée d’une vie dans la vie d’une femme, un budget non négligeable pour les femmes et les jeunes filles plus démunies.


Opération de sensibilisation pour lutter contre les violences intrafamiliales

 

La démarche nationale

Après avoir lancé une cagnotte à l’échelle nationale, le collectif NousToutes a distribué en mars, dans toutes la France, 615000 sacs à pain dans les boulangeries. Cette opération « baguettes de pain », inspirée d’une initiative de la maire de Noisy-le-Sec (93), vise à prévenir et lutter contre les violences conjugales.

Ces sacs à pain distribués par plus de 3000 militant.es affichent au recto le violentomètre, un outil de prévention des violences conjugales et sur l’autre face, les numéros utiles en cas de violences.

Pourquoi dans les boulangeries ? Les français.es et la baguette, tout un symbole ! Chaque jour, les boulangeries accueillent 12 millions de consommateurs autant dire que ce commerce de proximité représente un atout fort pour lancer ce type d’opération de sensibilisation et permet de toucher potentiellement 1 850 000 personnes.

À l’échelle de Savenay, 

Stéphanie Hallien et Patricia Baholet, militantes du collectif #NousToutes et conseillères municipales du groupe minoritaire Naturellement Ensemble pour Savenay, soutenues par les membres qui ont composé de la liste ont décidé de participer à cette opération de sensibilisation. 

Nous nous sommes inscrit.es très naturellement dans cette opération car durant la campagne nous avons partagé et engagé une réflexion sur ce sujet. Nous défendions l’idée de porter des actions concrètes sur notre territoire pour sensibiliser et accompagner les victimes ainsi que les acteurs sociaux du territoire.

Les violences conjugales sont un fléau. Elles tuent, détruisent des milliers de vie chaque année et donner des infos aux victimes et témoins, c’est déjà un premier pas pour les aider.

Nous sommes conscient.es que cette diffusion ne sera pas suffisante pour éradiquer ce problème. C’est la raison pour laquelle le collectif NousToutes, nous invite à participer à la prochaine étape : mobiliser les maires en les invitant à renouveler cette opération, sous d’autres formats ou à d’autres échelles. Nous allons donc lancer un appel aux maires des communes de notre territoire pour que nous puissions reproduire cette opération.

Qu’est-ce que le violentomètre : 

Crée par des féministes d’Amérique Latine, il a été adapté en France par la ville de Paris, le Département de la Seine Saint Denis et l’association « En Avant Toutes », c’est un outil de prévention qui a vocation à mesurer le degré de violences (physique, verbale et/ou psychologique) au sein d’un couple à partir d’exemples concrets du quotidien. I

Il permet de réinstaurer des repères globaux dans des réalités individuelles, où les signaux d’alertes sont devenus difficilement identifiables.

Sa diffusion permettra également de sensibiliser et responsabiliser tous les individus à leurs échelles contre les violences intra-familiales. 


En savoir plus sur les actions et formations du collectif : https://www.noustoutes.org/


Le 8 mars, journée internationale des droits des femmes, est une journée militante ! 

L’équipe NEpS a mené pendant la campagne des municipales un projet participatif avec des engagements forts :

  • Favoriser l’égalité entre les femmes et les hommes dans la vie locale en signant notamment la charte européenne avec une déclinaison concrète d’un plan d’actions,
  • Défendre la parité à l’échelon intercommunal
  • Créer des instances participatives paritaires : conseil des sages, conseil des jeunes, groupe de travail, commissions municipales et extramunicipales…
  • Soutenir et porter les actions des générations futures à l’école, dans les structures de loisirs sur le sujet de l’égalité fille/garçon,
  • Mettre un plan d’actions pour lutter contre les violences intrafamiliales en partenariat avec les acteurs sociaux, la justice, la gendarmerie, les associations… et soutenir les initiatives portées par les acteurs du territoire,
  • Renforcer le budget du CCAS pour une politique ambitieuse et inclusive
  • Repenser l’aménagement du territoire avec notamment un usage mixte des équipements sportifs, culturels….

La liste n’est pas exhaustive et des idées, nous en avons, pour améliorer la condition de toutes les femmes avec l’objectif d’une égalité entre femmes et hommes.

Encore plus cette année où le confinement a durement touché une grande partie de nos concitoyens, dont les femmes, la journée du 8 mars reste une journée militante qui ne doit pas être la seule cause des femmes ! Elle est aussi celle des hommes où toutes et tous, nous avons le pouvoir d’agir, de nous unir pour changer et faire évoluer les mentalités !!

Et toujours : liberté, égalité, fraternité et… sororité !!

« Ma revendication en tant que femme, c’est que ma différence soit prise en compte, que je ne sois pas contrainte de m’adapter au modèle masculin » Simone Veil

 


Une plus grande place à la solidarité

Dans le prolongement de notre tribune dans le magazine municipal de décembre, nous étayons ci-dessous notre point de vue.

La durée de cette crise sanitaire et les incertitudes qui l’accompagnent ont, en effet, des impacts sociaux-économiques qui imposent de nous tous, une réelle ouverture aux contributions, de tous ordres, de chacun.

Nous profitons de cette tribune pour redire notre soutien aux commerçants locaux qui ont fait particulièrement preuve d’inventivité durant ce nouveau confinement (click and collect, nouveaux produits à la vente ou à emporter…). Nous avons pu échanger avec le Maire sur cette problématique en partageant notre réflexion et en formulant des propositions (cf Points de vue : un reconfinement difficile)

En revanche, le volet social de cette crise n’a pas été mis en débat alors que nous observons déjà les impacts sociaux (anxiétés, isolement social) et économiques (chômage partiel, perte d’emploi) de cette crise sanitaire.

Notre équipe invite donc la majorité à se saisir de cette crise pour animer plus fortement et concrètement les solidarités, le lien social, l’accompagnement des personnes vulnérables :

mener dès à présent une réflexion avec tous les acteurs sociaux du territoire pour répondre de manière plus efficiente aux publics dans le besoin,  

– animer une coordination avec les professionnels et représentants des associations caritatives pour agir tous ensemble pour le bien commun,

Le CCAS a lancé une Analyse des Besoins Sociaux (ABS). C’est une solution pour mieux connaître les populations du territoire et repérer les actions à mener, c’était également un axe fort de notre programme.

Outre l’intérêt d’établir un portrait sociologique de notre territoire, l’ABS est aussi un outil programmatique qui permettra de développer et d’élargir le champ d’actions du CCAS.

Les orientations de l’ABS doivent permettre d’identifier les besoins des habitant.es en mettant l’accent sur les familles monoparentales, les situations de violences intrafamiliales, les personnes en situation de handicap et de vulnérabilité. L’ABS pourrait également éclairer sur la situation des jeunes de notre territoire et nourrir une réflexion sur le bien vieillir à Savenay. 

Enfin, cette ABS est une belle occasion pour développer le « travail ensemble » avec la réunion de tous les professionnels et associations du territoire. Celle-ci doit apporter une complémentarité dans les actions menées par chacun.

Notre groupe sera force de propositions et participatif pour mener à bien ce projet, à condition évidemment que nous ayons accès à toutes les informations et que nos propositions soient entendues. 

 


Un reconfinement difficile !

En ce moment troublé, le groupe NEpS est solidaire avec l’ensemble des commerçants mais également avec la majorité municipale qui, par ses décisions, souhaite éviter autant que possible le brassage de la population.

Le groupe NEpS partage la position du Maire de respecter le cadre de la loi. Il n’est, par ailleurs, pas inutile de rappeler que nous sommes des élu.es de la République et par conséquent nous devons appliquer la loi (même si elle nous parait discutable !). Il nous semble plus que jamais nécessaire de nous consacrer aux nouveaux défis qui s’imposent à nous et d’apporter des solutions pérennes.

Il y a certes une nécessité économique mais surtout un enjeu de justice et de solidarité à l’heure où les petits commerces luttent pour leur survie. Ces commerces de proximité sont source d’animations de notre ville, de lien social mais aussi d’emplois.

Comment soutenir nos commerçants ?

La crise sanitaire et les décisions qui l’accompagnent invitent les élu.es à agir vite et durablement. Notre équipe a partagé sa réflexion et ses propositions avec le Maire afin de soutenir activement les commerçants qui subissent fortement la crise. Des solutions existent, à court et moyen termes, et de nombreuses villes font preuve d’audace et d’innovation :

–          En allant vers les commerçants afin d’identifier les besoins individuels et collectifs afin de les accompagner vers la digitalisation de leurs commerces

–          En mobilisant les habitants pour savoir ce qu’ils seraient prêts à faire pour soutenir le commerce local

–          En relayant les initiatives commerciales locales via une plateforme collaborative

–          En mobilisant l’ACAS pour développer l’entraide

–          En valorisant nos commerçants via les supports de communication de la collectivité

–          En accueillant les commerçants sur les marchés hebdomadaires (si juridiquement possible)

–          En proposant un point de retrait des achats….

Cette liste n’est pas exhaustive ! Regardons autour de nous les idées et initiatives fleurissent ici et là !